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Lettre ouverte à Monsieur le Ministre des transports son excellence AMAR GHOUL
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21052014
Lettre ouverte à Monsieur le Ministre des transports son excellence AMAR GHOUL
Lettre ouverte à Monsieur le Ministre des transports son excellence AMAR GHOUL
«Nous, qui sommes à l’origine de la dénonciation du grave préjudice subi par la SNTF Annaba, nous nous retrouvons aujourd’hui confrontés à des actes de vengeance à travers toutes sortes de hogra, qui s’est traduite par notre mise à l’écart», soulignent, dans une correspondance adressée le 30 août 2010 à leur directeur général, les cadres ingénieurs à l’origine de la dénonciation des malversations. Celles-ci ont porté sur un bradage de matériel neuf acquis par l’Etat au profit de la direction régionale de la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF) d’Annaba pour des millions de dollars et revendu en tant que déchets ferreux.
Dans cet appel pressant, ces cadres ayant pris la défense des intérêts de leur entreprise, se plaignent de leur mise en quarantaine avec les conséquences, sur leur vie sociale et professionnelle, que leur nouvelle situation a induites : une paie sans aucune prime ni indemnité (un maigre salaire de base), aucune augmentation ni promotion dans leur carrière, et ce depuis la lettre de dénonciation qu’ils avaient adressée en 2008 au chef de l’Etat portant sur des pratiques mafieuses au sein de leur unité. Certainement sur instruction des services de la présidence de la République, leur DG de l’époque avait pris la décision de désigner plusieurs commissions d’enquête qui sont arrivées à des conclusions vides de sens. Si ce n’est quelques détails sans véritables incidences sur le cours réel des faits.
Les cadres ingénieurs probes se disent même prêts à subir les conséquences de leur dénonciation si elle se révélait infondée. «Nous sommes prêts à aller en prison pour diffamation si ce que nous avons mentionné est faux», affirment ces derniers qui n’arrivent pas à s’expliquer la position de leur DG quant au cas du directeur central du matériel. Selon eux, il serait impliqué dans les malversations au même titre que les sept autres responsables de la DR d’Annaba, sous contrôle judiciaire depuis avril 2010. C’est pourquoi ils ont interpellé le premier responsable de la SNTF sur la nécessité d’appliquer les dispositions de l’ordonnance présidentielle n°01/06 portant lutte contre la corruption, notamment son article 47. En décidant de leur mise sous contrôle judiciaire, le juge d’instruction près le tribunal correctionnel d’Annaba consolide les accusations de malversations des personnes impliquées en ce qui concerne, notamment, les équipements et matériels ferroviaires neufs acquis à l’importation pour l’équivalent de plusieurs milliards de dinars qu’ils auraient cédés au titre de déchets ferreux à un spécialiste étranger de la récupération. Ce dernier, en fuite depuis 2008 pour son implication dans différentes affaires louches dont l’exportation de déchets ferreux, de fraude fiscale et de blanchiment d’argent, était connu pour être un corrupteur avéré. «Nous nous étonnons que rien n’ait été fait depuis notre dénonciation en ce qui concerne la situation professionnelle des cadres incriminés, objet pourtant d’une mise sous contrôle judiciaire. Ce qui aurait dû entraîner systématiquement leur suspension de fonction. Ce n’est pas le cas, puisqu’ils assument toujours leurs responsabilités, avec la possibilité donc de manipuler tout document ou témoin gênant pour eux. Le comble est que c’est nous qui sommes marginalisés et presque interdits d’accès dans les ateliers. Et pour preuve, tout a été fait pour ne pas nous permettre de soulever cette affaire, lors de la récente visite du ministre des Transports dans nos ateliers.» C’est justement sur ce dossier que M. Amar Tou ex-ministre des transports a interrogé le nouveau directeur régional d’Annaba. «Ce dossier, M. le ministre, est présentement entre les mains de la justice», a répondu l’interpellé. Apparemment, le représentant du gouvernement était bien au fait des détails du dossier.
Il s’est inquiété de l’entreposage à ciel ouvert d’importantes quantités de matériels et équipements ferroviaires, et de la saleté qui caractérise les ateliers. «L’ordre qu’il avait donné d’enlever ce matériel et de nettoyer les lieux a été interprété par certains comme une caution à la poursuite des méfaits», indiquent, dans leur lettre au DG de la SNTF, les cadres ingénieurs B. Boubaker et B. Haroun. Des copies de cette correspondance ont également été adressées, notamment, au Premier ministre et au ministre des Transports. L’absence du DG de la SNTF lors de la visite à Annaba L’ex-ministre M. Tou en a intrigué plus d’un, d’autant que dans le programme de cette visite, les étapes directement le concernant étaient nombreuses — dédoublement de la voie ferrée Ramdane Djamel (Skikda) Annaba-Gare —, sur 96 km ; réalisation de deux tunnels, dont l’un a un linéaire dépassant le km et demi et les ateliers d’entretien et de maintenance, lieu où se sont produites les malversations dénoncées par les cadres ingénieurs.
«Nous, qui sommes à l’origine de la dénonciation du grave préjudice subi par la SNTF Annaba, nous nous retrouvons aujourd’hui confrontés à des actes de vengeance à travers toutes sortes de hogra, qui s’est traduite par notre mise à l’écart», soulignent, dans une correspondance adressée le 30 août 2010 à leur directeur général, les cadres ingénieurs à l’origine de la dénonciation des malversations. Celles-ci ont porté sur un bradage de matériel neuf acquis par l’Etat au profit de la direction régionale de la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF) d’Annaba pour des millions de dollars et revendu en tant que déchets ferreux.
Dans cet appel pressant, ces cadres ayant pris la défense des intérêts de leur entreprise, se plaignent de leur mise en quarantaine avec les conséquences, sur leur vie sociale et professionnelle, que leur nouvelle situation a induites : une paie sans aucune prime ni indemnité (un maigre salaire de base), aucune augmentation ni promotion dans leur carrière, et ce depuis la lettre de dénonciation qu’ils avaient adressée en 2008 au chef de l’Etat portant sur des pratiques mafieuses au sein de leur unité. Certainement sur instruction des services de la présidence de la République, leur DG de l’époque avait pris la décision de désigner plusieurs commissions d’enquête qui sont arrivées à des conclusions vides de sens. Si ce n’est quelques détails sans véritables incidences sur le cours réel des faits.
Les cadres ingénieurs probes se disent même prêts à subir les conséquences de leur dénonciation si elle se révélait infondée. «Nous sommes prêts à aller en prison pour diffamation si ce que nous avons mentionné est faux», affirment ces derniers qui n’arrivent pas à s’expliquer la position de leur DG quant au cas du directeur central du matériel. Selon eux, il serait impliqué dans les malversations au même titre que les sept autres responsables de la DR d’Annaba, sous contrôle judiciaire depuis avril 2010. C’est pourquoi ils ont interpellé le premier responsable de la SNTF sur la nécessité d’appliquer les dispositions de l’ordonnance présidentielle n°01/06 portant lutte contre la corruption, notamment son article 47. En décidant de leur mise sous contrôle judiciaire, le juge d’instruction près le tribunal correctionnel d’Annaba consolide les accusations de malversations des personnes impliquées en ce qui concerne, notamment, les équipements et matériels ferroviaires neufs acquis à l’importation pour l’équivalent de plusieurs milliards de dinars qu’ils auraient cédés au titre de déchets ferreux à un spécialiste étranger de la récupération. Ce dernier, en fuite depuis 2008 pour son implication dans différentes affaires louches dont l’exportation de déchets ferreux, de fraude fiscale et de blanchiment d’argent, était connu pour être un corrupteur avéré. «Nous nous étonnons que rien n’ait été fait depuis notre dénonciation en ce qui concerne la situation professionnelle des cadres incriminés, objet pourtant d’une mise sous contrôle judiciaire. Ce qui aurait dû entraîner systématiquement leur suspension de fonction. Ce n’est pas le cas, puisqu’ils assument toujours leurs responsabilités, avec la possibilité donc de manipuler tout document ou témoin gênant pour eux. Le comble est que c’est nous qui sommes marginalisés et presque interdits d’accès dans les ateliers. Et pour preuve, tout a été fait pour ne pas nous permettre de soulever cette affaire, lors de la récente visite du ministre des Transports dans nos ateliers.» C’est justement sur ce dossier que M. Amar Tou ex-ministre des transports a interrogé le nouveau directeur régional d’Annaba. «Ce dossier, M. le ministre, est présentement entre les mains de la justice», a répondu l’interpellé. Apparemment, le représentant du gouvernement était bien au fait des détails du dossier.
Il s’est inquiété de l’entreposage à ciel ouvert d’importantes quantités de matériels et équipements ferroviaires, et de la saleté qui caractérise les ateliers. «L’ordre qu’il avait donné d’enlever ce matériel et de nettoyer les lieux a été interprété par certains comme une caution à la poursuite des méfaits», indiquent, dans leur lettre au DG de la SNTF, les cadres ingénieurs B. Boubaker et B. Haroun. Des copies de cette correspondance ont également été adressées, notamment, au Premier ministre et au ministre des Transports. L’absence du DG de la SNTF lors de la visite à Annaba L’ex-ministre M. Tou en a intrigué plus d’un, d’autant que dans le programme de cette visite, les étapes directement le concernant étaient nombreuses — dédoublement de la voie ferrée Ramdane Djamel (Skikda) Annaba-Gare —, sur 96 km ; réalisation de deux tunnels, dont l’un a un linéaire dépassant le km et demi et les ateliers d’entretien et de maintenance, lieu où se sont produites les malversations dénoncées par les cadres ingénieurs.
UN VRAI BONOIS- Invité
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